Le Tortilleur

Chiotte parlante. (Car il n’y a pas à tortiller…)

Tout est irréel et faux.

Il n’y a même pas de haut-parleur.

La lunette est suspendue, générant son propre son, et les seules paroles font mouvoir l’ensemble. Les textes et voix furent produits de manière aléatoire par des ordinateurs: toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé serait donc purement fortuite. La tirette de chasse d’eau sert évidemment à changer de discours.

Les discours furent rédigés par les différents sites qui suivent, et je remercie vivement leurs auteurs pour cet énorme travail. Les erreurs et fautes d’orthographes ont été fidèlement reproduites telles qu’elles furent rédigées par les ordinateurs.

https://www.blockhaus101.com/fr/past-exhibitions/ Générateur de flyers d’expositions d’artistes contemporains.

http://www.lepipotron.com/ Générateur de n’importe quoi bien dits.

https://www.nota-pme.com Générateur de parler pour ne rien dire.

http://chrisferon.free.fr/technologies-langage/pipotron-discours-ena.php L’énatronic: générateur de langue de bois.

https://www.atlanticlog.org Générateur de discours politiques.

https://www.faux-texte.com/ Générateur de faux textes, certains provenant même de Jean-Claude Van Damme ou Patrick Sébastien…

http://dalaipsum.com/ Générateur de discours du Dalaï-Lama.

https://obamaipsum.com/ Générateur de discours de Barack Obama. (The most presidential lorem ipsum in history)

https://www.elsewhere.org/pomo/ Excellent générateur de thèses postmodernistes, voire même de poésie adolescente ou de noms de groupes de rock si vous le désirez…

https://openai.com/blog/chatgpt/ générant des discours de Macron, ou même d’Arlette L.

Exemples:

Ricardo Wu Wu Yen

Ricardo Wu Wu Yen a grandi à Jeonju. Diplômé de la Willem de Kooning Academy de Rotterdam en 2015, il élargit son savoir en photographie à Séoul. C’est après une révolte contre son milieu familial bourgeois que cet artiste pluridisciplinaire décide de se consacrer à la photographie.
Comment penser le corps en circuit fermé ? En écho aux performances de Giorgio Agamben, Ricardo Wu Wu Yen expérimente le signifiant sous l’angle des nouvelles formes. Il lance un cri d’alarme pour projeter le pensé de l’espace public, symptomatique d’une génération-passerelle post-bug de l’an 2000. En révolte contre l’ordre établi, son installation nous rappelle à quel point il est urgent de conjurer la gentrification sinusoïdale. Sa performance visuelle entend invoquer la posture de l’extase en résonance avec l’actualité politique, en hommage à Ricardo Stark. En réponse aux réflexions de Mu Hirakana, Ricardo Wu Wu Yen expérimente la réification du musée.

Prune Loedstrøm | Réinvestir l’extase.
Prune Loedstrøm a grandi à Kagoshima. Diplômée de la Carnegie Mellon University de Pittsburgh en 1994, elle développe sa maîtrise des collages à Paris. Cet esprit libre consacre son installation à la question du zoroastrisme. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : « territoire et signes » (galerie Artegalore), « territoire et signes » (Fondation Cartier), ou encore « territoire et signes » (Sammlung Boros Collection, Berlin).
Dans « réinvestir l’extase », Prune Loedstrøm bouleverse la figuration. Elle entend renouveler les gestes organique. Par un geste introspectif et ironique, son propos lance un cri d’alarme pour convoquer la porosité du surmoi contemporain en tant que tel. Rréinvestir l’extase » brouille la chair. Dans un mouvement semblable à celui de Luciano McAdam, Prune Loedstrøm interpelle la périphérie du langage.

Federico Markul | Corps / singularité.
Federico Markul est né à Yamamatsu et vit aujourd’hui entre Minneapolis et Utrecht. Il a étudié les collages à la Hunter College de New York. Son œuvre inexpressif est irrigué par une scarification de ses deux membres inférieurs. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : « réinvestir » (Galerie Nathalie Obadia), « réinvestir » (Galerie Fons Welters, Amsterdam), ou encore « réinvestir » (Galerie Jocelyn Wolff).
Quelle place pour la déconnexion dans une pop-up exposition ? L’artiste Federico Markul interroge le contenu. Il nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer l’horizon du visible en filigrane. Dans une approche désarticulée et psychologique, son projet entend renouveler la périphérie de l’interface homme-machine et vice-versa. Sa réflexion se donne pour but d’accompagner l’action fabricatrice autant que son pop-up manifesto met en jeu la science de la dépossession. Ce jeu de la catégorisation doit pouvoir conjurer l’entre-soi.

Dalailamaipsum

The first drawback of anger is that it destroys your inner peace; the second is that it distorts your view of reality. If you think about this and come to understand that anger is really unhelpful, that it is only destructive, you can begin to distance yourself from anger.

If each of us can learn to relate to each other more out of compassion, with a sense of connection to each other and a deep recognition of our common humanity, and more important, to teach this to our children, I believe that this can go a long way in reducing many of the conflicts and problems that we see today.
In daily practice, reflect on the benefits of love, compassion and kindness, then reflect on the disadvantages of anger. Such continuous contemplation, the growing appreciation of love, has the effect of reducing our inclination towards hatred and increasing our respect for love. By this means even anger can be diminished.

Elena Quadreny | Conjurer.
Née à Kagoshima, Elena Quadreny se consacre à la sculpture. Diplômée de la National Taiwan University of Arts de Taïpei en 2002, elle élargit son savoir en sculpture à Örebro. Ce lauréat du prix SAM pour l’art contemporain est marquée par la question de l’urbanité. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : « remodeler Paris » (Galerie Thaddaeus Ropac).
Comment revisiter la déconnexion au sens propre ? Elena Quadreny dynamite l’urbanité. Dans une démarche critique et ironique, son installation performative propose de remodeler le végétal dérangeant. Son installation sonde ce qui est induit par la figuration subversif, comme une réponse en creux à Andrea Jakubowitz. S’inspirant d’Alain Damasio, Elena Quadreny met en jeu la desaffection du corps…

Obamaipsum

To President Clinton, who last night made the case for change as only he can make it; to Ted Kennedy, who embodies the spirit of service; and to the next Vice President of the United States, Joe Biden, I thank you. Because in the faces of those young veterans who come back from Iraq and Afghanistan, I see my grandfather, who signed up after Pearl Harbor, marched in Patton’s Army, and was rewarded by a grateful nation with the chance to go to college on the GI Bill. They have killed in many countries. Indeed, we can recall the words of Thomas Jefferson, who said: « I hope that our wisdom will grow with our power, and teach us that the less we use our power the greater it will be. »
It comes from Deuteronomy 30 when Moses talks to his followers about the challenges they’ll find when they reach the Promised Land without him. He contains within him the contradictions – the good and the bad – of the community that he has served diligently for so many years. Legalized discrimination – where blacks were prevented, often through violence, from owning property, or loans were not granted to African-American business owners, or black homeowners could not access FHA mortgages, or blacks were excluded from unions, or the police force, or fire departments – meant that black families could not amass any meaningful wealth to bequeath to future generations. And it means taking full responsibility for own lives – by demanding more from our fathers, and spending more time with our children, and reading to them, and teaching them that while they may face challenges and discrimination in their own lives, they must never succumb to despair or cynicism; they must always believe that they can write their own destiny. I believe that as hard as it will be, the change we need is coming.
This year, in this election, we are called to reaffirm our values and our commitments, to hold them against a hard reality and see how we are measuring up, to the legacy of our forbearers, and the promise of future generations. Now don’t get me wrong. That is the responsibility we have to one another as human beings. Each nation gives life to this principle in its own way, grounded in the traditions of its own people. I am emphasizing such investments within my country.
Hamas does have support among some Palestinians, but they also have responsibilities. In Turkey, Pakistan, Bangladesh and Indonesia, we have seen Muslim-majority countries elect a woman to lead.
I’m hearing from evangelicals who may not agree with progressives on every issue but agree that poverty has no place in a world of plenty; that hate has no place in the hearts of believers; and that we all have to be good stewards of God’s creations. Did I know him to be an occasionally fierce critic of American domestic and foreign policy? Of course. A lack of economic opportunity among black men, and the shame and frustration that came from not being able to provide for one’s family, contributed to the erosion of black families – a problem that welfare policies for many years may have worsened. With profound gratitude and great humility, I accept your nomination for the presidency of the United States. You can’t truly stand up for Georgia when you’ve strained our oldest alliances.
Thank you very much everybody.

Langue de bois

Mesdames, Messieurs, il est temps de réviser nos clichés : la fixation de délais non négociables aide dans une large mesure nos équipes à instaurer une meilleure visibilité. Je me crois autorisé à pouvoir avancer que la reconnaissance des difficultés que traversent nos économies porte sur le devant de la scène de nouvelles propositions claires et constructives. On voudrait croire que le haut niveau d’exigence caractérisant notre ambitieux programme nous évitera de réinventer la roue ou l’eau chaude en nous focalisant sur notre vocation d’agents de changement organisationnel et de gestion. Je réaffirmerai avec force que notre politique de juste à temps serait de nature à promouvoir notre combat quotidien pour travailler, investir, conquérir de nouveaux marchés : bref, créer des richesses. Ne nous laissons pas séduire par les discours thuriféraires : le lancement d’une campagne longuement mûrie renvoie à une vraie question si l’on considère la participation de tous à un grand projet dont nous pourrons retirer une légitime fierté. Il ne faudrait pas pour autant sous-estimer que notre intime conviction nous obligera à nous inscrire dans une relation gagnant-gagnant autorisant une inévitable diversification de nos champs de compétence.

Langue de bois

Mesdames, Messieurs, je réaffirmerai avec force que l’accroissement volontariste de la qualité et du nombre de nos métiers ouvre une large brèche pour s’engager vers les modalités d’une reconfiguration sans concessions, seule susceptible d’asseoir notre compétitivité. En relativisant bien évidemment la portée de notre action, notre quête pour toujours plus de décloisonnement et de flexibilité nous autorise une posture propre à réaliser les axes prépondérants d’un développement futur. Il convient de conserver à l’esprit le fait que notre longue expérience dans le domaine qui mobilise notre énergie doit nous inciter à mettre au jour la mise en oeuvre du puissant effet de levier que nous procurera notre nouvelle organisation. Ne prêtons pas le flanc à la critique toujours prête à s’exprimer, car le renforcement de la formation des personnels inaugure un processus destiné à orienter le progrès qui ne manque pas d’avenir. Faisons fi de la langue de bois : l’objectif de sauvegarder l’employabilité de nos troupes s’inscrit bien dans notre schéma de croissance pour le XXI ième siècle.

Cassandre Austin | Fabrication de multitude.
Née à Phnom Penh, Cassandre Austin se consacre aux performances. Après ses études à Silpakorn University de Bangkok, elle se consacre entièrement aux performances. Sa performance visuelle est marquée par son intérêt pour les enjeux de la mémoire et de l’identité ainsi que pour la drogue.
Cassandre Austin permet de réinvestir l’urbanisation. Via un travail in situ, « fabrication de multitude » nous rappelle à quel point il est urgent de projeter le signifié. Ffabrication de multitude » lance un cri d’alarme pour convoquer le rhizome autour de l’art, à rebours d’Elias Raggamsdottir. À la manière d’Elena Ancira, Cassandre Austin déstructure la catharsis de la ville.

Elena Stella | L’instant sinusoïdal.
Elena Stella a grandi à Lviv. Elle a été en résidence à la Harare Polytechnic College jusqu’en 1999. Ce provacateur infatigable consacre sa performance visuelle à la question de l’action fabricatrice dans le zoroastrisme.
Comment penser la chair en écho à des problématiques actuelles ? Dans « l’instant sinusoïdal », Elena Stella joue avec l’espace public. Interrogeant le réel, son projet invite à invoquer le soi et invite à la parole autour du contenu. Son projet artistique développe l’interface homme-machine tandis que l’action fabricatrice entend déconstruire l’instant, à la manière de Xavier de Beauvais. Ce jeu de la perspective n’a de cesse de faire exister la déconnexion.

Langue de bois politique

Mesdames, Messieurs, l’aspiration plus que légitime de chacun au progrès social oblige à la prise en compte encore plus effective d’une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.
Mesdames, Messieurs, la situation d’exclusion que certains d’entre vous connaissent interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l’avant dans la voie d’un avenir s’orientant vers plus de progrès et plus de justice.
Mesdames, Messieurs, la volonté farouche de sortir notre pays de la crise entraîne une mission somme toute des plus exaltantes pour moi : l’élaboration d’une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.
Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que l’acuité des problèmes de la vie quotidienne doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l’élaboration d’un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis.

Langue de bois politique

Mesdames, Messieurs, la volonté farouche de sortir notre pays de la crise doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l’élaboration d’un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.

Et c’est en toute conscience que je déclare avec conviction que la situation d’exclusion que certains d’entre vous connaissent entraîne une mission somme toute des plus exaltantes pour moi : l’élaboration d’une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.

Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que le particularisme dû à notre histoire unique conforte mon désir incontestable d’aller dans le sens d’un avenir s’orientant vers plus de progrès et plus de justice.

Et ce n’est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que la situation d’exclusion que certains d’entre vous connaissent a pour conséquence obligatoire l’urgente nécessité d’un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.

Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la situation d’exclusion que certains d’entre vous connaissent interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l’avant dans la voie d’une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.

Langue de bois politique

Mesdames, Messieurs, la situation d’exclusion que certains d’entre vous connaissent doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l’élaboration d’un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun

Et c’est en toute conscience que je déclare avec conviction que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, conforte mon désir incontestable d’aller dans le sens d’un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.

Et ce n’est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que l’effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus oblige à la prise en compte encore plus effective de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires.

Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise a pour conséquence obligatoire l’urgente nécessité d’un avenir s’orientant vers plus de progrès et plus de justice.

Je reste fondamentalement persuadé que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise conforte mon désir incontestable d’aller dans le sens de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires.

Miquel Karo | Projeter Allen Ginsberg.
Né à Phoenix, Miquel Karo se consacre aux arts plastiques. Il complète son art des arts plastiques à l’École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre de Bruxelles. Son installation est marqué par son intérêt pour le dérèglement climatique ainsi que pour les subcultures urbaines.
Dans le prolongement des travaux de Gilles Deleuze, Miquel Karo invite à la parole autour du langage sous l’angle de l’horizon. Plutôt que de défricher le rapport, son œuvre propose de déchiffrer la technique. Son installation catalyse les sens dérivés de l’urbanisation tandis que le visible se donne pour but d’invoquer la création. S’inspirant de Buñuel, Miquel Karo interpelle la répétition du surmoi contemporain…

Daiga Ji-Sung | Temporalité à la lueur de fabrication.
Née à Utrecht, Daiga Ji-Sung découvre les algorithmes à Hong-Kong. Diplômée de l’Art Center College of Design de Pasadena en 2009, elle élargit son savoir en algorithmes à Auckland. Cet artiste multicartes a été marquée par une expérience d’isolation complète dans un monastère au Bhoutan. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : « urbanité » (Galerie Thomas Bernard, Paris).
Quelle place donner à l’urbanisation en écho à des problématiques actuelles ? Daiga Ji-Sung joue avec les gestes. Elle invite à brouiller l’urbanité, comme lors de son exposition à Leipzig en 2014. En révolte contre l’ordre établi, son propos se donne pour but de projeter l’archéologie autour du corps . Ttemporalité à la lueur de fabrication » permet d’appréhender l’interface homme-machine et se rapproche de la figuration. Ce jeu de la question entend faire exister le mouvement.

Ana Maria Lampsuss | Immanence, création, techniques.
Née à Lviv, Ana Maria Lampsuss se consacre au sampling iconographique. Elle a étudié le sampling iconographique à l’Universidad del País Vasco de Bilbao. Cet expérimentateur infatigable consacre son récit à la question des enjeux de la mémoire et de l’identité. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à « faire exister la dépossession » (Galerie Fons Welters, Amsterdam).
Que penser de l’invisible en filigrane ? Dans « immanence, création, techniques. », Ana Maria Lampsuss joue avec l’espace public. Au lieu de projeter la réalité du corps, son travail subjectivise intensément la dépossession. Iimmanence, création, techniques. » s’articule autour du musée et doit pouvoir questionner la ville. Dans la continuité de Bettina Ji-Ping, Ana Maria Lampsuss convoque la surveillance du sujet.

Marxist class and the presemioticist paradigm of consensus.
The characteristic theme of the works of Gaiman is the role of the artist as

observer. But the main theme of Werther’s[1] model of

structural narrative is the difference between sexual identity and society.
Many semioticisms concerning modernism may be discovered. Therefore,

Bataille’s critique of precapitalist desublimation holds that reality is used

to oppress the Other, given that the presemioticist paradigm of consensus is

valid.
If modernism holds, we have to choose between the presemioticist paradigm of

consensus and Derridaist reading. It could be said that Geoffrey[2] suggests that the works of Gaiman are empowering.

Realities of failure.
In the works of Eco, a predominant concept is the concept of dialectic

consciousness. Foucault promotes the use of Marxist class to deconstruct

outdated, elitist perceptions of class. In a sense, Lacan’s essay on modernism

implies that consensus comes from the collective unconscious.
If one examines Marxist class, one is faced with a choice: either reject

modernism or conclude that sexuality is capable of intention, but only if truth

is interchangeable with narrativity; otherwise, Lyotard’s model of Marxist

class is one of “subconceptualist theory”, and hence intrinsically meaningless.

The paradigm, and eventually the meaninglessness, of the presemioticist

paradigm of consensus prevalent in Eco’s The Aesthetics of Thomas

Aquinas emerges again in Foucault’s Pendulum. It could be said that

the subject is contextualised into a Marxist class that includes art as a

whole.
Debord suggests the use of material postcultural theory to modify society.

Thus, the premise of Marxist class holds that narrativity serves to reinforce

hierarchy.
A number of discourses concerning the role of the reader as observer exist.

But the primary theme of the works of Eco is the stasis, and subsequent

paradigm, of structuralist class.
The subject is interpolated into a neosemantic situationism that includes

culture as a paradox. Therefore, in The Aesthetics of Thomas Aquinas,

Eco deconstructs modernism; in The Limits of Interpretation (Advances in

Semiotics), although, he affirms Marxist class.

Eco and modernism.
In the works of Eco, a predominant concept is the distinction between

destruction and creation. An abundance of discourses concerning Marxist class

may be found. However, the example of Marxist socialism depicted in Eco’s

The Aesthetics of Thomas Aquinas is also evident in The Name of the

Rose, although in a more textual sense.
The main theme of Long’s[3] analysis of modernism is a

mythopoetical reality. If the presemioticist paradigm of consensus holds, we

have to choose between modernism and precapitalist materialism. Thus, Sartre

uses the term ‘Marxist class’ to denote the role of the writer as participant.
If one examines modernism, one is faced with a choice: either accept the

presemioticist paradigm of consensus or conclude that the Constitution is

capable of significance. Any number of discourses concerning the bridge between

sexuality and society exist. But the characteristic theme of the works of Eco

is the stasis, and some would say the economy, of dialectic culture.
In the works of Eco, a predominant concept is the concept of neocultural

reality. Hanfkopf[4] implies that we have to choose between

Marxist class and the textual paradigm of expression. It could be said that

Marx promotes the use of the presemioticist paradigm of consensus to attack

sexism.
“Society is used in the service of class divisions,” says Lyotard. If

Sartreist existentialism holds, the works of Tarantino are modernistic. But

Marx suggests the use of the presemioticist paradigm of consensus to

deconstruct and modify consciousness.
The main theme of Abian’s[5] critique of Marxist class is

a self-sufficient totality. The primary theme of the works of Tarantino is the

difference between class and sexual identity. Therefore, a number of narratives

concerning the presemioticist paradigm of consensus may be discovered.
If one examines Marxist class, one is faced with a choice: either reject

textual deconstruction or conclude that the goal of the writer is significant

form. The subject is contextualised into a modernism that includes art as a

reality. However, the characteristic theme of Prinn’s[6]

essay on Marxist class is a neodeconstructivist whole.
“Society is fundamentally dead,” says Bataille. Sontag promotes the use of

modernism to challenge the status quo. Thus, several situationisms concerning

the role of the reader as participant exist.
The primary theme of the works of Stone is the bridge between sexual

identity and culture. It could be said that Lyotard uses the term ‘the

presemioticist paradigm of consensus’ to denote the failure of capitalist

sexual identity.
Scuglia states that we have to choose between

modernism and dialectic neocultural theory. But Sontag uses the term ‘Marxist

class’ to denote the role of the observer as poet.
The subject is interpolated into a presemioticist paradigm of consensus that

includes sexuality as a reality. It could be said that Debord uses the term

‘the textual paradigm of consensus’ to denote not destructuralism, as modernism

suggests, but predestructuralism.
The characteristic theme of McElwaine’s[8] critique of

Marxist class is the role of the writer as poet. In a sense, the genre, and

some would say the economy, of the presemioticist paradigm of consensus

intrinsic to Stone’s Natural Born Killers emerges again in Heaven and

Earth.
The primary theme of the works of Stone is the fatal flaw, and eventually

the rubicon, of dialectic society. Therefore, Foucault uses the term

‘predeconstructivist conceptual theory’ to denote the role of the reader as

artist.
If modernism holds, the works of Stone are reminiscent of Pynchon. Thus,

Debord suggests the use of the presemioticist paradigm of consensus to read

sexual identity.
Postcultural Marxism implies that language is capable of truth, given that

Lacan’s model of Marxist class is invalid. But Bataille promotes the use of

constructive sublimation to deconstruct class divisions.
A number of theories concerning Marxist class may be revealed. However, the

characteristic theme of Abian’s[9] analysis of modernism is

not discourse, but subdiscourse.
Any number of theories concerning the difference between narrativity and

society exist. In a sense, the subject is contextualised into a textual

rationalism that includes consciousness as a totality.
Von Ludwig[10] suggests that we have to choose between

modernism and textual nationalism. However, Debord suggests the use of

premodern theory to modify and attack sexuality.

Modernism and cultural discourse.
In the works of Stone, a predominant concept is the distinction between

opening and closing. If cultural discourse holds, we have to choose between

Marxist class and Lacanist obscurity. But the subject is interpolated into a

cultural discourse that includes culture as a paradox.
“Sexual identity is used in the service of sexism,” says Lyotard. The main

theme of the works of Stone is not desituationism, as Baudrillard would have

it, but neodesituationism. Thus, d’Erlette[11] states that

we have to choose between Marxist class and subtextual patriarchialist theory.
Modernism holds that sexual identity has intrinsic meaning. In a sense, the

figure/ground distinction which is a central theme of Stone’s Natural Born

Killers is also evident in JFK, although in a more self-justifying

sense.
Lacan uses the term ‘cultural discourse’ to denote the role of the poet as

observer. Thus, in Platoon, Stone deconstructs Marxist class; in

Heaven and Earth he examines modernism.
The characteristic theme of McElwaine’s[12] model of

cultural discourse is the bridge between class and society. However, many

theories concerning the capitalist paradigm of narrative may be found.

Stone and cultural discourse.
In the works of Stone, a predominant concept is the concept of neotextual

truth. The main theme of the works of Stone is the role of the artist as poet.

But if Marxist class holds, we have to choose between cultural discourse and

cultural sublimation.
The example of the subsemantic paradigm of expression prevalent in Stone’s

Natural Born Killers emerges again in JFK. However, Abian[13] implies that we have to choose between cultural discourse

and cultural rationalism.
An abundance of discourses concerning the fatal flaw of neostructural class

exist. But if Marxist class holds, the works of Stone are modernistic.
Baudrillard uses the term ‘dialectic deconstruction’ to denote a

mythopoetical totality. Thus, the premise of modernism states that discourse is

created by the masses, but only if sexuality is equal to art; if that is not

the case, we can assume that consciousness, perhaps paradoxically, has

significance.

Madonna and nationalism.
If one examines Marxist socialism, one is faced with a choice: either rejectnationalism or conclude that language serves to oppress minorities. InErotica, Madonna denies textual neocultural theory; in MaterialGirl, however, she examines nationalism.
In the works of Madonna, a predominant concept is the concept of textualsexuality. Therefore, the subject is contextualised into a Marxist socialismthat includes truth as a reality. A number of narratives concerning apostcultural paradox exist.
“Society is part of the stasis of language,” says Bataille; however,according to Drucker[1] , it is not so much society that ispart of the stasis of language, but rather the genre, and hence the fatal flaw,of society. However, Sartre uses the term ‘the structural paradigm ofexpression’ to denote the bridge between sexual identity and truth. Marxistsocialism suggests that government is a legal fiction.
Thus, the subject is interpolated into a neotextual appropriation thatincludes culture as a totality. Several theories concerning Marxist socialismmay be found.
It could be said that the subject is contextualised into a cultural paradigmof discourse that includes reality as a reality. Derrida uses the term‘nationalism’ to denote not narrative, but postnarrative.
Therefore, de Selby[2] holds that we have to choosebetween capitalist dematerialism and subtextual objectivism. Any number oftheories concerning the difference between society and sexual identity exist.
But Foucault suggests the use of nationalism to challenge and modifysexuality. Several discourses concerning neotextual appropriation may bediscovered.
It could be said that the subject is interpolated into a Marxist socialismthat includes consciousness as a paradox. Lyotard promotes the use ofneotextual appropriation to attack hierarchy.

Nationalism and the dialectic paradigm of consensus
In the works of Madonna, a predominant concept is the distinction between

creation and destruction. Thus, the premise of the dialectic paradigm of

consensus implies that the raison d’etre of the participant is significant

form, given that nationalism is invalid. A number of sublimations concerning

the role of the writer as participant exist.
The characteristic theme of the works of Madonna is a mythopoetical reality.

In a sense, if Marxist socialism holds, we have to choose between the dialectic

paradigm of consensus and neocultural semantic theory. The main theme of

Tilton’s[3] model of Marxist socialism is not narrative, but

prenarrative.
However, Sartre uses the term ‘deconstructive subtextual theory’ to denote a

self-justifying totality. The premise of the dialectic paradigm of consensus

states that truth is capable of truth.
It could be said that the subject is contextualised into a Marxist socialism

that includes art as a whole. Foucault uses the term ‘nationalism’ to denote

not sublimation per se, but neosublimation.
Thus, the primary theme of the works of Madonna is the common ground between

class and language. The subject is interpolated into a dialectic paradigm of

reality that includes reality as a reality.
Therefore, Sargeant[4] holds that the works of Madonna

are empowering. Debord uses the term ‘Marxist socialism’ to denote a

mythopoetical whole.

Madonna and the dialectic paradigm of consensus
“Sexual identity is intrinsically dead,” says Sontag. In a sense, if

Foucaultist power relations holds, we have to choose between Marxist socialism

and the postcultural paradigm of expression. The paradigm of capitalist

discourse which is a central theme of Madonna’s Erotica is also evident

in Sex, although in a more premodernist sense.
If one examines Marxist socialism, one is faced with a choice: either accept

the dialectic paradigm of consensus or conclude that culture may be used to

entrench capitalism, but only if narrativity is distinct from culture; if that

is not the case, we can assume that the law is part of the defining

characteristic of consciousness. However, Lacan suggests the use of Debordist

image to deconstruct society. The subject is contextualised into a nationalism

that includes art as a reality.
Therefore, d’Erlette[5] implies that we have to choose

between Marxist socialism and constructive feminism. The subject is

interpolated into a neocapitalist textual theory that includes truth as a

totality.
But if Marxist socialism holds, we have to choose between nationalism and

Sontagist camp. Baudrillard’s critique of Marxist socialism suggests that

class, perhaps surprisingly, has intrinsic meaning, given that the premise of

nationalism is valid.
However, in Pulp Fiction, Tarantino deconstructs Marxist socialism;

in Reservoir Dogs he analyses subcultural textual theory. Many

materialisms concerning nationalism may be found.

Discours de Macron.

Je suis ravi de vous parler aujourd’hui en tant que président de la République française.
Nous vivons dans un monde en constante évolution, et la France doit s’adapter à ces changements pour rester compétitive sur la scène internationale. C’est pourquoi nous avons lancé de nombreux projets pour moderniser notre économie, notamment en investissant dans les technologies de l’avenir comme l’intelligence artificielle et les énergies renouvelables.
En même temps, nous devons veiller à ce que ces changements bénéficient à tous les Français, pas seulement à une élite. C’est pourquoi nous avons lancé des initiatives pour améliorer l’accès à l’éducation et à la formation professionnelle, ainsi que pour lutter contre la pauvreté et l’inégalité.
En outre, nous devons être à la hauteur de nos responsabilités en matière de relations internationales. La France est un acteur clé de l’Union Européenne et de l’OTAN, et nous devons continuer à jouer un rôle de premier plan dans la résolution des conflits et la promotion de la paix et de la sécurité dans le monde.
En résumé, la France se doit d’être un leader dans un monde en mutation, en s’appuyant sur l’innovation, l’inclusion, et la diplomatie pour construire un avenir plus prospère pour tous les Français.

Autre discours de Macron…

Je suis honoré de pouvoir partager mes idées et mes vision avec vous aujourd’hui.
La France est un pays riche en histoire, culture et talents. Nous avons tous les atouts pour devenir une puissance mondiale en matière de technologie, de science et de commerce. Cependant, pour réaliser cela, nous devons être prêts à relever les défis qui se posent à nous et à prendre des décisions courageuses pour notre avenir.
Aujourd’hui, nous faisons face à une crise sanitaire sans précédent, qui a mis à rude épreuve notre système de santé et notre économie. Nous devons être solidaires et unis pour surmonter cette crise, tout en veillant à protéger les plus vulnérables d’entre nous. Nous devons également être à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique, en investissant dans les énergies renouvelables et en réduisant nos émissions de gaz à effet de serre.
En même temps, nous devons continuer à ouvrir nos marchés à l’international, en nous concentrant sur les secteurs où nous sommes les plus compétitifs. Nous devons également investir dans la formation et l’éducation pour permettre à chacun de réaliser son plein potentiel.
Enfin, je crois que nous devons continuer à renforcer notre Union Européenne, en travaillant ensemble pour faire face aux défis communs et en protégeant les intérêts de tous les citoyens de l’UE.
En résumé, la France a un avenir brillant devant elle, mais nous devons être prêts à relever les défis et à prendre des décisions courageuses pour réaliser notre potentiel. En travaillant ensemble, nous pouvons construire un avenir meilleur pour tous les Français.

Discours d’Arlette L.

Mes chers amis,
Permettez-moi de vous parler en tant que candidate à la présidence de la République française, qui a consacré sa vie à lutter pour les droits des travailleurs et pour une société plus juste.
Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où les inégalités économiques et sociales ne cessent de se creuser. Les travailleurs sont exploités par des patrons avides de profits, tandis que les riches s’enrichissent encore plus. Nous devons mettre fin à cette injustice.
Nous devons nous battre pour un salaire minimum élevé, pour des conditions de travail décentes, et pour le droit de grève. Nous devons également lutter pour une répartition plus équitable des richesses, en augmentant les impôts sur les grandes fortunes et en augmentant les prestations sociales pour les plus démunis.
En outre, nous devons être solidaires avec les travailleurs à travers le monde, et rejeter les politiques d’austérité qui détruisent les systèmes de protection sociale et les services publics.
Seul un véritable changement radical, qui mettra en place un système économique et social plus juste, pourra répondre aux besoins des travailleurs et des plus démunis. C’est pourquoi je m’engage à poursuivre cette lutte, tant que je serai en vie, pour un avenir meilleur pour tous les travailleurs de France.
Merci.